On vivait en mode logistique. Aujourd’hui, on respire.”

Avant :
“On gérait les enfants, le boulot, la maison. On se relayait pour tout.
Mais à deux, on ne faisait plus rien. Pas par manque d’amour. Juste plus le temps. Plus l’énergie.”

Le déclic :
“On a vu passer l’offre Bouger à Deux. Une heure par semaine, ensemble. C’était simple. Accessible. Et ça nous a parlé.”

Aujourd’hui :
“C’est devenu notre rendez-vous. Pas pour performer. Juste pour se reconnecter.
On rit, on transpire, on se parle parfois… ou pas. Mais on est là, ensemble. Et ça change tout.”

“Je ne voulais pas d’un coach. Je voulais retrouver la maîtrise.”

Avant :
“Je finissais mes journées vidé. Mon sport, c’était des promesses.
Et à force, j’ai commencé à ne plus me reconnaître.”

Le déclic :
“Ce n’est pas un plan d’entraînement qu’on m’a proposé. C’est un cadre. Un cap. Un respect de moi-même.”

Aujourd’hui :
“Je bouge 2 fois par semaine. Je dors mieux. Je suis moins nerveux.
Et surtout, je ne me sens plus en décalage avec mon corps. Je le remets au centre.”

On voulait faire du sport… mais ensemble, c’était toujours trop compliqué.”

Avant :
“On n’avait jamais le même rythme. Jamais la même motivation.
Et puis on culpabilisait de s’absenter en laissant les enfants.”

Le déclic :
“Le programme nous a permis d’avoir une routine qui colle à notre vie. Pas l’inverse.”

Aujourd’hui :
“On ne négocie plus le sport. C’est là, dans l’agenda. On est suivis, portés, encouragés.
Et même nos enfants commencent à nous imiter !”

“Je pensais qu’à mon âge, c’était trop tard.”

Avant :
“Je me levais avec le dos en vrac. Je me couchais épuisé.
Et j’avais cette phrase en tête : ‘j’ai plus le temps pour moi’.”

Le déclic :
“Mon coach ne m’a pas vendu du rêve. Il m’a proposé un engagement raisonnable, structuré, et surtout : adapté.”

Aujourd’hui :
“Je sens que mon corps revient. Pas juste physiquement. Mais dans ma posture, dans mon énergie.
Mes enfants me regardent différemment. Et moi aussi.”

“Le seul moment qu’on partageait, c’était pour les courses ou les enfants.”

Avant :
“On passait notre temps à s’organiser. Jamais à se retrouver.
Le soir, chacun sur son téléphone, trop fatigué pour proposer quoi que ce soit.”

Déclic :
“On a vu ‘Bouger à Deux’. Une heure bloquée. Pas besoin de se justifier. On s’est dit : essayons.”

Aujourd’hui :
“C’est devenu notre point d’ancrage. On transpire, on rigole, on ne parle pas toujours. Mais on est ensemble.
Et maintenant, même nos enfants nous demandent : ‘vous allez faire votre sport aujourd’hui ?’”

“Je culpabilisais de prendre du temps pour moi alors que ma femme gérait les enfants.”

Avant :
“J’avais l’impression de me mettre en retrait. De choisir entre ma santé et mes responsabilités.”

Déclic :
“Mon coach m’a dit : ‘et si tu faisais ce pas-là pour eux aussi ?’ J’ai compris que ce n’était pas de l’égoïsme, mais une manière de tenir.”

Aujourd’hui :
“Je bouge deux fois par semaine, pendant qu’ils sont à l’école. Je n’ai plus à négocier. Je suis plus clair. Et surtout, je me sens mieux, plus solide.”

“On n’a jamais réussi à faire du sport ensemble. Pas le même niveau, pas les mêmes attentes.”

Avant :
“On avait beau essayer, ça finissait en frustration. Soit l’un allait trop vite, soit l’autre s’ennuyait.”

Déclic :
“On nous a proposé de construire notre propre rituel. À notre rythme, avec nos réalités. Et ça a changé la donne.”

Aujourd’hui :
“C’est devenu fluide. Ce n’est plus ‘faire du sport’, c’est un moment à deux. Et parfois, nos enfants viennent faire du vélo ou du tennis avec nous.”

“Je suis sportif. Mais depuis que j’ai des enfants, j’ai pris 7 kilos.”

Avant :
“Je me levais fatigué, j’étais stressé, je grignotais n’importe quoi.
Je culpabilisais de prendre du temps pour moi, parce que je ne voulais pas faire porter la charge à ma femme.
Alors je m’effaçais. Je donnais tout à ma famille, et à 20h30, j’étais vidé.”

Déclic :
“Le coach m’a juste dit : ‘Et toi là-dedans ? Tu fais quoi pour rester debout ?’
Je me suis rendu compte que je n’avais jamais vraiment posé la question.
Le sport, je l’avais rangé dans les souvenirs.”

Aujourd’hui :
“Je cale mes séances entre midi et deux, quand les enfants sont à l’école.
Je ne cherche plus à performer. Juste à tenir. À me sentir bien dans mon corps.
Et quand je suis bien, tout le monde le sent. Même à la maison.
C’est plus fluide. Je ne me noie plus dans un verre d’eau.”

“Je ne voulais pas d’un coach qui me parle de performance. Je voulais juste me remettre en mouvement.”

Avant :
“Je me réveillais raide, je me couchais lessivé. Et je n’osais pas dire que j’avais juste besoin de structure.”

Déclic :
“Quand on m’a dit : ‘tu n’as pas besoin de t’y remettre fort, juste régulièrement’, j’ai dit ok.”

Aujourd’hui :
“Je me sens moins tendu, moins nerveux. C’est comme si mon corps me répondait à nouveau.
Et à la maison, on le sent aussi. Je suis plus calme, plus présent.”